31 octobre 2009

le nouveau spot pub de tiloui

Second spot publicitaire mettant en scène tiloui, la mascotte de l’AMIV (groupement professionnel des éleveurs Martiniquais) pour la promotion de l’élevage local.
Ce spot a été récemment diffusé sur les chaines de télévision RFO Télé Martinique et ATV.

© octobre 2009
production : CVD – JEE prod
réalisation : steric

4 commentaires

  1. jaco dit :

    toujours aussi sympa, Tiloui !

  2. steric dit :

    merci jaco.
    Je le lui tansmettrais :)

  3. J’aime bien la forme, mais ne suis pas convaincu par le slogan « laissez faire des professionnels ». Déjà la dernière fois ça m’avait chifonné. (c’est parcequ’il faut payer les taxes et autres impôts, sinon…)
    Il faut leur proposer le site du paysan du coin ;)

  4. steric dit :

    oui je suis d’accord avec toi, je n’aime pas non plus spécialement ce slogan.
    En fait, il se justifiait lors des 8 teasers qui mettaient en scène un non-professionnel qui faisait n’importe quoi. Le spot qui suivait les 8 teasers présentait alors le professionalisme de la profession si je puis dire :D
    Car, en fait il était nécessaire de montrer que l’élevage local était structuré et professionnel. Il y a encore beaucoup de particuliers en Martinique qui possèdent des bêtes : boeufs, cabris, moutons, cochons, volailles… et qui n’ont pas nécessairement une démarche de qualité, loin de là.

    Personnellement, je pense que le paysan du coin est une bonne initiative qui pourrait très avantageusement être exporté vers la Martinique qui est un marché captif du fait de l’insularité. Ça permet de jouer la carte de la proximité jusqu’au bout. Et en limitant les intermédiaires, cela permettrait sûrement de baisser les prix qui sont malheureusement plus élevés que ceux de la viande surgelée importée (principal frein du plein essor de la viande locale sur les rayons).
    Mais, les bouchers indépendants et ceux de la grande distribution sont partenaires de l’association des éleveurs et je ne pense pas qu’ils souhaitent être écartés.
    Lors du mouvement de grêve de février dernier, la production locale (élévage, culture, maraichère…) s’est retrouvée sur le devant de la scène puisque les supermarchés étaient fermés et/ou vides. Des iniatives de vente directe ont été lancés à la grande satisfaction de la population qui avait du mal à remplir son caddie.
    Mais, il ne faut pas se leurrer, le soufflé est TOUT DE SUITE retombé dès la fin de la grève et les caddies à nouveau remplis à ras bord.
    Il faut encore un peu plus que 6 semaines de grèves pour changer les comportements.
    Néanmoins, en février une petite graine a été plantée.
    Peut-être qu’un jour elle germera…

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