14 novembre 2008
détrit'art #7
Voici le septième opus de la série de films détrit’art. Vous avez déjà pu visionner les 6 autres sur l’ancien blog.
Ces 7 films ont été diffusés lors du Festival des Sens.
Ces 7 films ont été diffusés lors du Festival des Sens.
Vous pouvez également les revoir en visitant mon espace dailymotion. Vous pouvez y accéder en cliquant sur le petit lézard gris sur fond blanc dans la liste de liens à droite.
Je vous invite à y aller et y laisser des commentaires et même, pourquoi pas, noter les films.
Merci pour votre soutien :)
belles images, mais je n’ai pas le son…
ah bon ? C’est dommage. C’est comme une belle à qui il manque un oeil ^_^
Pourtant il y a bien du son.
Tu n’as pas eu ce problème sur les autres films ?
Vérifie tes enceintes ou ta carte son.
Vu et …. bien les 30 premières secondes. La suite est vraie, mais ennuyeuse (je sais, je suis très difficile) mais une coupure avec un environnement plus naturelle et une musique appropriée aurais plus tranché avec l’aspect détritus qui fini par lasser. et oui !! Nous sommes tellement soumis au dictat de l’image de la rapidité (pub) qu’il faut être dérangé et non ennuyé ! Pour cela rien ne vaut un comparatif ….à mon humble avis.
Continue monsieur Stéric.
ah un commentaire négatif, c’est bien. Merci laulito.
eh oui je suis un enfant de la pub d’où peut-être la rapidité des images souvent mais pas toujours dans mes films.
Bon que le film t’ai ennuyé n’est pas si négatif que ça puisqu’il suscite chez toi cette réaction d’ennui. c’est assez ennuyeux à vrai dire tous ces détritus qui trainent partout sur les plages, les côtes et partout sur la planète.
Par contre, j’étais assez content du choix de la musique pour accompagner ces images et ça m’ennuie un peu que tu ne la trouves pas assez appropriée.
merci pour ton com constructif
Stéric, dans mon commentaire je ne dis pas que la musique n’est pas appropriée, je dis qu’un changement avec une musique appropriée à ce changement aurait été bien.
Ex : un beau coucher de soleil avec une musique classique, une belle chute d’eau, avec un air de jazz….
Désolé de ce quiproquo.
A suivre monsieur Stéric