1 mars 2011

ciel cyan

defense13

6 commentaires

  1. laulito dit :

    C vrai que c cyan ….

    Je n’ai de ceveu sur la langue ….

    ;-)

    désolé.

    A+

  2. steric dit :

    c’est méçant ce que tu dis là !

  3. laulito dit :

    ben …. je sais, mais en même temps, depuis le début je dis que la déf et moi … alors tu me mets un titre pareil sous mes touches de clavier …

    désolé !

     

  4. steric dit :

    Bin Kesta cont la defense ?

    C’est chouette à photographier en tout cas. Une vraie mine. N’importe où que tu te tournes, tu as envie d’appuyer sur le déclencheur.

    Clic clic clic…

    Un vrai bonheur.

     

    Regarde bien cette photo par exemple. Regarde le reflet d’une tour qui est hors champ sur l’immeuble de gauche et son ombre sur celui de droite…

    etc…

  5. laulito dit :

    Je sais bien Stéric.

    Disons que de par mes missions, la défense reste un lieu de passage ou de travail que je connais assez bien,  par tous les temps (neige, pluie, soleil) … et du levé du jour, comme au couché surtout l’hiver ;-) !

    C’est un lieu froid, sans âme, traversé par des milliers de travailleurs (euses), pressés, indifférents (une arrivée dans le RER entre 7h30 et 9h00 en donne une bonne idée).

    Et donc, même si c’est un bon endroit artistique, je ne l’aime pas.

    :-)

     

  6. steric dit :

    Oui c’est vrai que c’est mieux quand on n’est pas un de ces milliers de travailleurs (euses), pressés, indifférents.

    Sinon, c’est justement aussi ça qui est amusant à la Défense. Toutes ces fourmis affairées qui courent dans tous les sens d’une fourmilière à l’autre.

     

    Lors de mon passage à Paris, je suis aussi passé par hasard dans un quartier d’affaire tout récent entre la très grande bibliothèque et la gare d’Austerlitz. Il était midi, il faisait également très beau et c’était très amusant limite surréaliste de voir plein d’hommes d’affaires élégants costad cravates attachés case prendre leur café au pied de l’immeuble alors que tout le reste du quartier est absolument désert et assez en friches d’ailleurs. Un ilot surréaliste de businessmen au milieu de nulle part.

    Et il y avait des centaines de scooters high tech au pied de l’immeuble. Un véritable monde parallèle digne d’un film de sf. Une hallucination.

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